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requise par ledit abbé, appellez avec eulx ung bon père reformateur de l'Ordre ct l'un des discretz de ladicte maison, le plus suffi­sant, ydoine ct capable qu'ilz adviseront. Et, oultre, a ordonné et ordonne que les reglementz et reformation, qui faictz seront par lesdiz president et Conseillier, seront gardez et entretenuz de poinct en poinct par chacune desdictes parties, comme si faictz avoient esté par ladicte Court, le tout néant­moins par manière de provision et jusques à ce que par elle autrement en soit ordonné, — (Arch, nat., X,A 1598, fol. 254.)
396. -— Sentence des Requêtes du Palais condamnant par défaut de L'Orme , en procès avec Olivier Imbert, à déposer une provision de a3o et de 1200 livres. - 17 juillet i562.
Entre Olivier Imbert, demandeur au prin­cipal et requerant l'enterinement de certaine requeste de provision par luy judiciairement faicte en la Court de céans, le 10e jour de janvier 155g, d'une part, et me Philibert de l'Orme, abbé d'Ivry et de Sainct-Esloy de Noyon, defendeur audict principal et em-peschant ladicte requeste, d'aultre part: lesquelles parties, sur leurs demandes et def­fences mentionnées au procès et en l'appoinc-tement de la Court de céans, du 12ejour de mars ensuivant, estoient par icelluy appoinc-tées au principal en droict à escripre par advertissemens qui seront communiquez pour y respondre et sur lad. provision estoient aussi appoinctez en droict, Veules advertis­semens produictz desdictes parties, le mé­morial à oyr droict, et tout veu ; il sera dict, en ayant regard à ladicte requeste de provi­sion dudit 1 oe janvier oudict an 155g et en icelle entérinant, que, par manière de provi­sion pendent ledict procès principal d'entre lesdictes parties et sans prejudice de leurs
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droictz en icelluy, la Court condamne ledict, defendeur à garnir es mains dudict deman­deur les somme de cent escuz d'or soleil, vaillant 2 3o libvres, d'une part, et douze cent livres tournois, d'aultre, dont est ques­tion, en baillant par luy caution et soy constituant achepteur de biens de justice, d'icelle somme rendre et restituer, s'il est dict en fin de cause qué faire se doye, tous despens reservez.en diffinitive. Prononcé en la presence de J. Janeron, procureur dud. demandeur, et en l'absence de J. Tronçon, procureur dud. deffendeur, suffisamment appellé, le 17e jour de juillet 1562.— (Arch, nat., X" 56, fol. 180.).
391. —Résignation de l'office de maître géné­ral des œuvres de maçonnerie de Jean de l'Orme à Etienne Grandrémy. — i566.
Led. seigneur a permis à m° Jehan de l'Orme, m" général des œuvres de maçonne­rye de ce royaulme, qu'il puisse resigner led. estat en faveur et au profict de mc Es­tienne Grand Berny, sans pour ce paier finance, du 26e mars [i566]. — (Arch, nat., KK 133", fol. 65 v°'.)
398. — Donation dc Jean de l'Orme à son fils naturel Charles de l'Orme. - 2 1 novembre 1 567.
Donation par Jean de l'Orme, seigneur de Sainct-Germain et du Pont, valet de cham­bre du Roi et commissaire ordinaire de l'ar­tillerie, demeurant à Paris, rue Neuve-Saint-Paul, de tous ses biens.en faveur de Charles de l'Orme, fils naturel dudit Jean de l'Orme et de Claude Genjart, à la réserve de l'usu­fruit, « pour la bonne et vraye amour natu­relle ct paternelle quc ledit donateur porte à son filz et pour le rémunérer et recom­penser de plusieurs bons et agréables plai-
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ARTISTES PARISIENS.
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